Jamais plus Hiroshima. Dites-le avec des mots noirs et rouges, milliers de porteurs de pancartes qui marchiez sous les dix mille soleils de pluie des routes anglaises. Edita Morris le dis à sa façon, avec ses bouquets de pensées blanche que les survivant de la bombes font flotter sur les eux noire du fleuve Otha...
Ils sont peu nombreux, les soixante-dix-huit mille cent cinquante mort d'Hiroshima, au regart des trente-huitmillions et quelques centaines de milliers de mort présumés de la Dernière Guerre mondial.
Ce matin-là, c'était le 6 août 1945 - et déjà, il faut le dire, le monde revivait dans l'allégresse de la vistoire, déjà bête écrasée, mourante, expirait de Berlin à Tokyo -un jeune pilote de vingt-cinq ans, Claude Eatherly, survolait le Japon dans un avion de reconnaissance. Il était suivis par un bombardier, portant dans ses flanc une bombe d'un type nouveau, longue de trois mètre, pesant quatre tonnes, et baptisée par l'année l'armée américaine : Little Boy, petit garçon. Cette bombe kes survivant d'Hiroshima devaient l'appeler plus tard : pika-don, lumière et bruit. Il donne au bombardier l'ordre de lâcher Little Boy. A 8h 16, Hiroshima est effcé de la surface de la Terre
Témoignage :
« ... Partout autour de moi, il ya des gens qui courent, qui courent... Ils me poursuivent avec leur visage carbonisés, avec des lambeaux de chair arrachés de leurs épaules... Cette fille au visage rongé par les flammes, cet homme qui porte sa femme morte sur son dos... [...]
C'est ce qui nous attends si nous ne courons pas assez vite. Vite, vite, ou nous seront rôtis vivant... Loin devant moi, j'aperçoit la ligne noire du fleuve et des ombres qui plongent dans ses eaux comme des torches vivante, les cheveux en flammes, les femmes s'élancent du rivage en grappe sérrées...»
( commentaire de moi : La mère de la femme qui témoigne et morte dans le fleuve car elle a but l'eau noire qui tomber du ciel, qui était elle-même iradiée ... )
Extrait de la préface du livre : Les fleurs d'Hiroshima
Titre anglais : The flowers of Hiroshima
( Voilà j'ai dut retaper le texte, et enlevé de passages )